Ces croyances qui t’empêchent d’avancer avec ton alimentation

Quand les pensées limitantes dictent ton rapport à la nourriture

« Je dois mériter ce que je mange. »
« Il ne faut jamais manger après 19h. »
« Le sucre, c’est mon pire ennemi. »

Tu as probablement entendu – et cru – ces phrases depuis des années.
Mais derrière ces affirmations, il y a des croyances profondément enracinées… qui créent du contrôle, de la privation, et souvent, des compulsions.

L’histoire de Chloé, 36 ans : du contrôle à la libération

Chloé arrivait chaque semaine dans mon cabinet en me disant :

« Je suis nulle, j’ai encore craqué hier soir. »

Elle se privait toute la journée, pensant que manger le soir faisait grossir.
Mais chaque soir, son corps réclamait. Fort. Trop fort.
Les crises alimentaires se succédaient… et la culpabilité aussi.

Ensemble, on a déconstruit cette croyance.
On a remis du plaisir, de la structure, de la permission.
Et, petit à petit, son rapport à l’alimentation s’est apaisé.
Ce n’était pas de la volonté qu’il lui manquait, mais de la douceur et de la vérité.

Comment dépasser ces croyances qui t’enferment

Ces pensées ne sont pas une fatalité.
Tu peux apprendre à :

• Les identifier

• Comprendre d’où elles viennent

• Les remplacer par des affirmations plus justes et respectueuses de toi

Dans mes ebooks et accompagnements, je t’aide à sortir du schéma « croyance → privation → compulsion » et à retrouver une relation sereine à ton alimentation.

Faire le premier pas vers une relation apaisée à la nourriture

📥 Commence dès aujourd’hui :
→ Télécharge ton outil gratuit "Les 5 clés pour apaiser ta relation avec ton alimentation"

→ Et réserve ton appel découverte offert : 30 min pour faire le point ensemble en douceur

🌿 Tu n’as pas besoin de “te contrôler”. Tu as besoin d’apprendre à t’écouter.

✍️ Marie-Myriem, diététicienne spécialisée en TCA
Fondatrice de Consciously by Marie, j’aide les femmes à se libérer de l’alimentation émotionnelle et à retrouver une relation sereine avec leur corps et leur assiette.